Types Morphologiques Theret
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Extraits du Rapport du Professeur Theret "Morphologie et Cynotechnie"

 

L'étude de la forme est très ancienne et les artistes ont, depuis fort longtemps, essayé de préciser les canons de la beauté, tel Léonard de Vinci, pour ne retenir que le plus célèbre. Ces canons s'appliquaient à l'homme. Au XVIIIe  siècle apparaissent un certain nombre d'études, principalement sur l'espèce chevaline, et l'on pense tout de suite aux canons dits de Bourgelat.

Les analyses données sont bonnes mais ne recherchent que les traits d'une beauté absolue, tout au moins celle reconnue à une époque.

La morphologie est toujours dans l'enfance. Il est vrai qu'elle suscite peu d'intérêt. Avec le XIX* siècle, on voit apparaître les bases de la morphologie moderne et il faut évoquer les noms de Broca, de Taupinard. Il s'agit naturellement de travaux dans l'espèce humaine à la recherche de caractères ethniques. C'est au crâne surtout que l'on s'adresse, et une « science » se développe : la crâniométrie que Sanson cherchera à appliquer plus particulièrement à l'espèce bovine avec la conception d'un crâniomètre particulier.

La crâniométrie liée à d'autres mensurations s'impose, mais son utilisation reste malaisée à appliquer. De toute évidence, elle ne nous éclaire que fort mal sur la forme, dont l'étude ne peut être faite le compas à la main. La morphologie n'est pas une science de géomètre, d'autant plus que la conception et l'analyse de la forme sont délicates, fugitives... fluides. Tenons-en pour preuves les différentes définitions données par les dictionnaires :

Forme (Larousse) : Telle ou telle manière d'être extérieure d'une matière quelconque.

Forme (Petit Robert) : Ensemble des contours d'un objet, d'un être, résultant de la structure de ses parties.

C'est alors que se placent les travaux de Raoul Baron, véritable créateur de la morphologie moderne à valeur universelle. Pourtant, bien que vulgarisée par Paul Dechambre, elle restera mal connue, mal interprétée, voire dénaturée.

Du vocabulaire initial, forgé par Baron, il ne reste que quelques mots employés souvent à tort, faisant perdre ainsi toute la substance de la conception initiale de la forme. Nul ne sait que des mots comme bréviligne, longiligne - que le Petit Robert nous dit être apparus dans le vocabulaire en 1923 - ont été créés par Baron en 1890. Le mot Médioligne ne figure pas dans ce dictionnaire de 1973.

 

Qui était Raoul Baron ? Raoul Baron, ayant à la base une solide formation classique et mathématique, entre à Alfort en 1871. Dès sa sortie de l'Ecole Vétérinaire, il fait ses débuts dans l'enseignement et devient titulaire de la Chaire de Zootechnie de 1878 à 1908. Homme d'une grande érudition, d'une très vaste culture, philosophe et linguiste, il va donner à la Zootechnie un souffle nouveau qui, malheureusement, sera mal saisi par ses contemporains. Baron se proposait, entre autres, pour classer les races, de s'appuyer sur des critères précis, intéressant la forme et les aptitudes particulières de chacune d'elles.

Avant toute tentative d'analyse par la simple observation, il va établir un certain nombre de « lois » qui seront à la base de son système. Tout d'abord, dans une population donnée, et pour un caractère donné, il existe un type moyen avec des variantes, soit en plus, soit en moins, d'où la loi des variations bilatérales.

Baron remarque par ailleurs qu'un type de variation entraîne une autre variation, ce qui le conduit à dégager la loi des variations corrélatives. Tout cela se fait généralement avec une certaine harmonie et on parle alors de loi de l'harmonicité avec la recherche d'un équilibre devant conduire à un rendement optimum, cette notion ayant un sens très large.

Fort de ces lois biologiques dont la logique est évidente. Baron, en vue de classer les races pour l'ensemble des espèces, secondairement là nôtre, va énoncer ses coordonnées ethniques. Elles sont au nombre de trois et intéressent non seulement la conformation mais aussi les diverses productions épidermiques ainsi que les aptitudes particulières ou dominantes.

On distingue :

1 ° Les coordonnées de la plastique.

Ce sont celles qui permettent d'analyser la forme.

2° Les coordonnées de la Phanéroptique, qui, pour les types primitifs, restent liées aux précédentes, pour s'en affranchir au cours de l'évolution des races. C'est l'étude des phanères, c'est-à-dire des productions épidermiques en général.

3° Les coordonnées de l'énergétique. Avec elles, on aborde l'aptitude des races en général à une fonction ou une production donnée : la forme reste souvent liée à l'aptitude.

II s'agit dans un premier temps d'analyser la forme. Pour cela, il faut une méthode et un langage. Baron a créé à la fois la méthode et le langage. Du langage, il ne reste que quelques bribes, le plus souvent mal employées, faute d'une bonne connaissance de l'œuvre de Baron. Il est vrai que ce langage était souvent ésotérique et riche en néologismes. Baron connaissait parfaitement le latin, le grec et le sanscrit pour ne parler que des langues mortes. Son élève et successeur le Professeur Dechambre a appliqué la morphologie baronienne pour le classement des races dans les différentes espèces domestiques sans toutefois en conserver la subtilité et la finesse.

 

Description et symboles des coordonnées de la plastique

 

La conformation d'un individu, d'un chien, doit être analysée dans ses trois dimensions, mais en procédant par étapes successives. Il convient d'abord d'en apprécier le profil, la silhouette générale, d'en saisir les courbures dans leur ensemble, mais plus particulièrement celles de la tête et du corps : c'est l'étude du profil : l'alloïdisme pour Baron.

Cette projection plane de l'individu ne donne qu'une vue très imparfaite de la forme elle-même. Il s'agit de voir plus en détail les rapports qui peuvent exister entre les éléments, longueur, largeur, épaisseur. Il s'agit là de l'étude des proportions ou anamorphose.

C'est alors seulement qu'intervient dans cette analyse la «dimension» de l'individu, c'est-à-dire le format, désigné par Baron sous le nom d'hétérométrie. Ce format n'est en effet que secondaire dans l'analyse de la forme et pour ne retenir que le profil, il est évident qu'un dessin reproduit à l'aide d'un pantographe aura la même forme que l'original, la dimension seule étant différente.

 

Le profil ou alloïdisme

 

La pensée baronienne est généralement trahie, car ceux qui croient s'en inspirer ne retiennent guère que le profil céphalique, voire même simplement celui de l'os frontal, reprenant ainsi les dires de Dechambre lorsqu'il appliquait la méthode aux bovins.

Par profil, il faut entendre l'ensemble de la silhouette de l'animal, de ses contours, donnant l'idée du type. C'est une surface qui est ici appréciée dans son ensemble.

« Sur l'homme et les animaux supérieurs, cette première opération ne présente aucune difficulté. La symétrie de l'édifice nous fait choisir immédiatement comme méridien principal, l'axe dorso-lombaire qui se prolonge sur l'encolure, le crâne et la face, jusqu'au bout du nez. Arrivé là, nous suivons notre chemin en traçant une ligne du dessous correspondant à la ligne du dessus. Et nous achevons le contour de la projection cervico-corporelle.

* Pour les membres, nous procédons d'une façon analogue et qu'il est inutile de décrire, tellement l'intuition directe en est claire » (Baron).

Baron énonce un théorème : « Les surfaces-enveloppes de /'organisme vivant ou même de n'importe quel objet inerte, naturel ou artificiel, sont caractérisées par leur coefficient de courbure, lequel coefficient est positif, nul ou négatif ».

En appliquant la loi des variations bilatérales, nous sommes donc conduits à retenir trois types de base :

le type « moyen » le rectiligne (exemples : le Setter, les Epagneuls),

le type « positif » : le convexiligne (exemple : le Barzoï, le Colley),

le type « négatif » : le concaviligne (exemple : le Bull dog anglais),

avec comme symboliques respectives, le 0, le +, le —.

Pour les types accentués (les ultra convexes ou les ultra concaves) ou au contraire simplement amorcés (sub-busqués ou sub-concaves) il est possible d'ajouter à ces symboles des dièses ou des bémols ou plus simplement des accents ou des cédilles.

C'est bien la silhouette générale qu'il faut voir. Les sujets harmoniques sont donc dans leur ensemble rectilignes. convexilignes ou concavilignes. Cependant le profil céphalique peut être considéré comme caractéristique de l'alloïdisme et Baron a pu écrire : « La tête de l'homme et des animaux, abstraction faite de sa grosseur et de son indice, est caractérisée par des profils plans, busqués ou camus. Telle est la circonstance primordiale dans laquelle nous voyons se manifester la suprématie de l'alloïdisme ».

C'est la conséquence logique de la loi de l'harmonicité. mais dans une espèce comme l'espèce canine où la variabilité est considérable on comprendra que le seul examen du profil céphalique ne peut avoir de valeur absolue ; celui-ci peut fort bien être en désaccord avec la silhouette générale et cela pour les races à face plus ou moins écrasée, donc concave, alors que la silhouette générale reste rectiligne.

Sans vouloir entrer dans les détails, il convient de donner les grands traits de chacun de ces types :

Pour les rectilignes, si l'on part de l'axe dorso-lombaire comme le veut Baron, on note que toutes les lignes sont droites droites : celles du dos, de l'encolure, de la ligne du dessous et aussi celle du profil céphalique. Quant aux membres, leurs aplombs sont parfaitement réguliers.

Chez les convexilignes, ces mêmes lignes se courbent, le dos devient voussé, l'encolure est plus ou moins rouée, le ventre devient levrette, le profil de la tête devient convexe, et chez le chien, le stop est presque effacé. Les membres ont tendance à se rassembler et les sujets sont sous-eux du devant et du derrière, les aplombs sont modifiés, et, de plus, les membres sont généralement cagneux.

Chez les concavilignes les courbures s'inversent, le dos se creuse ainsi que l'encolure et la face devient camuse. Les aplombs s'inversent et les animaux sont campés du devant et du derrière avec tendance à la panardise.

Par variation corrélative, les extrémités, aussi bien celle de la tête que celles des membres sont épaisses chez les concaves et au contraire acuminées chez les convexes.

On retrouve ici les grands traits des races citées en exemple précédemment : les Setters, le Barzoï ou le Colley, le Bull dog anglais, démontrant ainsi l'exactitude des vues baroniennes dans le cas de types harmoniques. Si l'on veut s'en tenir à la notion stricte de beauté, l'avantage revient au type rectiligne et Baron soulignait que dans ce type « tout reste droit, équilibré, les courbures sont nulles ». C'est le type divin, olympien, messiani­que, orthodoxe, académique, etc... » Ce qui ne veut pas dire que les autres types ne correspondent pas à un autre genre de beauté.

Les proportions ou anamorphose

Si la silhouette nous éclaire sur une forme plane, elle ne précise nullement les caractères du volume qui fait intervenir trois dimensions : longueur, largeur et épaisseur. Ces éléments varient d'une façon particulière et Baron (repris par Dechambrel a donné deux grands « théorèmes » de l'anamorphose qui permettent de reconnaître trois types morphologiques : les types médioligne, longiligne et bréviligne.

1 ° Les éléments de largeur et d'épaisseur varient dans le môme sens et en raison inverse des éléments de longueur.

Cela veut dire que les animaux longs sont en même temps étroits et minces, que les animaux courts sont épais et larges, que les animaux étirés ne donnent la sensation de « sveltesse » qu'à la condition d'être en même temps hauts et frêles, etc...

2° Les animaux et les hommes longilignes sont étriqués et effilés, non seulement en une région particulière, mais d'un bout à l'autre ; par contre, les organismes brévilignes sont refoulés, trapus et surbaissés depuis le bout du nez jusqu'au bout des pieds. Telle est l'expression populaire de l'harmonicité.

Mais, fait remarquer Baron, comment se fait-il que les chevaux incontestablement longilignes par leur aspect d'ensemble, paraissent si souvent courts de corps, tandis que ceux qui sont brévilignes paraissent longs ou très longs ?

C'est alors que le raisonnement ne doit pas être fait à partir d'un animal en position normale, mais debout sur ses postérieurs, en « station debout » comme l'homme. Tout devient clair. En effet :

de profil on élimine les éléments largeurs ;

de face ou de derrière, on élimine les éléments épaisseur ;

Dans les deux cas les éléments longueurs sont visibles..

Pour Baron, les grands sveltes (longilignes) sont hauts fendus, les courtauds (brévilignes) sont « bas du cul » (sic).

Naturellement, les proportions sont indépendantes du format. L'étude des proportions nous conduit à distinguer trois types :

un type moyen, dit médioligne : 0

un type allongé, dit longiligne : +

un type compact, dit bréviligne : —

Là encore on pourra faire intervenir des accents ou des cédilles, des dièses ou des bémols.

La définition de l'un de ces trois types demande nécessairement l'établissement de rapports entre les trois dimensions citées. Celles-ci peuvent intéresser plus particulièrement la tête ou le corps dans son ensemble. Si l'on veut tenir compte de la loi de l'harmonicité, le simple examen de la tête devrait éclairer nettement les proportions, ce qui est vrai sans doute, mais la connaissance de la conformation corporelle à une incidence sur la destination de l'animal, sur son aptitude à telle production ou tel service. On doit donc y attacher plus d'importance et ne pas se fier à de simples corrélations, souvent en défaut dans l'espèce canine.

Baron, mais surtout son élève Dechambre, ont voulu établir des indices cherchant ainsi à contre balancer les travaux de Sanson avec son crâniomètre. En définitive, ce sont bien les relevés corporels qui ont, aux yeux de Baron, permis de définir les types morphologiques du point de vue des proportions.

C'est donc plus particulièrement à l'aide des mesures corpo­relles que nous essayons de préciser ces types morphologiques, la tête, au demeurant, pouvant être jugée d'une façon subjective avec une précision suffisante. Pour elle, l'étude de telles mesures pourra être envisagée ultérieurement.

La nécessité de prendre des mesures a été ressentie par tous; et le nombre de mensurations possibles est très grand. Or, seules doivent être retenues celles qui permettent de bien appré­cier les éléments, hauteur, largeur et longueur. Une seule est habituellement retenue en matière de cynotechnie, c'est la hauteur, qui, du point de vue morphologique, n'a pas de signification ; elle dépend en effet de la hauteur des membres antérieurs, de l'épaisseur du tronc, du chevauchement produit par la chute du thorax entre les deux épaules. Elle ne peut donner d'indication sur la forme (Baron).

Rappelons que la forme et le format, sont indépendants. Les relevés de mensurations n'auront donc en définitive aucune valeur si l'on ne retient que les valeurs absolues. Seuls, les rapports existant entre deux mensurations auront de la valeur, d'où la nécessité de déterminer des indices, qui eux, seront significatifs.

Quelles mensurations prendre ?

Leur nombre doit être le plus faible possible et donner cependant la possibilité d'analyser la forme dans ses trois dimensions.

Nous proposons 5 mensurations (voir annexe concernant leur relevé) :

mesure de hauteur = hauteur de poitrine : h ;

hauteur au garrot : H ;

mesure de largeur : largeur de poitrine : I ;

mesure de longueur : longueur scapulo-ischiale : L ;

mesures associées : périmètre thoracique : C.(hauteur et largeur de poitrine)

Ces 5 mesures doivent nous permettre de préciser les propor­tions à l'aide d'indices, les chiffres n'ayant que peu de valeur en eux-mêmes.

Les travaux de Dechambre font intervenir d'autres mensura­tions permettant d'établir divers indices dont certains sont repris par Luquet. Nous ne pensons pas que leur intérêt soit majeur. Ces mesures alourdissent la tâche et n'apportent que peu de chose que l'œil ne puisse facilement apprécier.

Quels indices calculer ?

Le petit nombre de mensurations retenues permet de réaliser les différents rapports possibles.

 

         Indice thoracique =  l/h ;

 

   Indice de hauteur de poitrine =  h/H ;

 

         Indice de taille =   H/L ;

 

   Indice corporel =   L/C

 

   Indice compacité =   H/C

 

   Indice de longueur =  l/L

 

Ces seuls indices nous paraissent suffisants pour caractériser une conformation et. à ce titre, peuvent être utilisés dans l'appréciation des individus dans le cadre d'une race, si une étude préalable a été entreprise.

 

Le format ou hérétométrie

 

Cette troisième coordonnée de la plastique reste naturellement secondaire pour caractériser une forme. Elle n'en est pas moins indispensable en tant que caractère ethnique.

Le format reste cependant difficile à préciser. Faut-il retenir la taille ou le poids ? Si la taille a déjà fait l'objet de remarques, que dire du poids qui varie considérablement avec l'état de l'animal, notamment son embonpoint ?

Ce qui paraît le plus juste comme critère semble le poids, mais celui d'un animal en bon état, c'est-à-dire en muscle et non en graisse.

Baron imagina naturellement une symbolique, ce qui a donné :

le type « moyen » = Eumétrique : 0

le type « supérieur » = Hypermétrique : +

le type « inférieur » = Ellipométrique : —

Des chiffres sont donnés pour les différentes espèces et il est singulier de remarquer que, par rapport à l'eumétrie, la différence est beaucoup plus grande pour les ellipométriques que pour les hypermétriques : les nains sont beaucoup plus petits que les géants ne sont grands si on prend comme base d'appré­ciation les sujets de format moyen.

 

Les autres coordonnées baroniennes

 

Bien que ces coordonnées n'intéressent pas la morphologie, il est indispensable, ne serait-ce que de les évoquer, pour que la pensée de Baron ne soit pas mutilée.

Coordonnées de la phanéroptique

II s'agit, surtout en ce qui concerne la cynotechnie des variations du poil et de sa couleur, de la coloration de la peau, des ongles, etc...

Comme pour la morphologie. Baron détermine des critères d'appréciation avec la création d'un vocabulaire original accompagné d'une symbolique inspirée de la précédente.

Bien que cela ait été écrit, pour Baron, la couleur de la robe n'était nullement le décor de la forme, tout au moins pour les types primitifs qu'il est bien souvent difficile de retrouver dans nos races actuelles tant leur évolution au cours des siècles a été grande et cela bien souvent à la suite de croisements dont nous ne connaissons que peu de chose. Les mutations qui sont apparues, puis ont été fixées, compliquent encore le problème.

 

Coordonnées de l'énergétique

 

Si, à la rigueur, on peut admettre que les phanères ne consti­tuent qu'un décor de la forme, on est obligé de reconnaître que la conformation d'un individu (ou d'une race) laisse entendre une aptitude particulière. Pour s'en convaincre, il suffit de comparer le type morphologique d'un coureur de fond a celui d'un haltérophile.

Il existe bien un type cursorial : les lévriers en constituent le modèle. Les molosses ont une toute autre destination. Ce sont les proportions qui sont surtout intéressées, mais le format joue également. Quant au profil, il intervient comme élément de base, l'étude des « courbures » laissant présager ce que seront les proportions en fonction de la loi d'harmonicité.

 

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